
Depuis quelques décennies s’est développée dans le bâtiment la culture du « chacun pour soi » rendant les phasages et les interventions sur chantier moralement pénibles quand ce n’est pas totalement du n’importe quoi.
Les normes réglementaires de plus en plus techniques et contraignantes induites du Grenelle de l’environnement imposent au secteur du bâtiment des transformations en profondeur.
Transformations techniques puisque chaque corps d’état doit s’approprier les nouvelles normes et technologies propres à son métier mais aussi culturelles car chaque intervenant doit intégrer une connaissance élargie et transversale pour obtenir les niveaux de performances globales exigées.
Cette nouvelle donne constitue une révolution, les différents corps d’état vont êtres amenés à échange et à travailler ensemble étroitement afin d’atteindre les résultats voulus.
Le Grenelle de l’environnement sonne le glas de la culture du « chacun pour soi » et ouvre une époque ou nous « gagnerons ensemble ».
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